Les interventions proposées par sujets libres s’inspirent des logiques humanistes adaptées au monde du travail mais aussi d’autres mouvements de pensée tels que :
L’assertivité (ou comportement assertif) est un concept initié par Andrew Salter, psychologue américain, dans la première moitié du XXe siècle.
La logique assertive consiste à s’affirmer tout en respectant l’autre.
Plus récemment, c’est le professeur et psychiatre Joseph Wolpe qui a développé l’assertivité qu’il décrivait comme une « expression libre de toutes émotions vis-à-vis d’un tiers, à l’exception de l’anxiété ».
L’assertivité est donc une attitude dans laquelle on est capable de s’affirmer tout en respectant autrui. Il s’agit de se respecter soi-même en s’exprimant directement, sans détour, mais avec considération. Cette posture permet de diminuer le stress personnel, de ne pas en induire chez autrui et à augmenter son efficacité dans la plupart des situations d’entretien.
En France, l’assertivité a été développée par Thierry Tournebise, psychothérapeute
Initié dans les années 1970, le processus de la Communication Non Violente est basé sur l’empathie, inspirée du psychologue Carl Rogers dont Rosenberg fut l’élève.
Gandhi a également influencé Marshall B. Rosenberg, le terme non-violent est en effet une référence directe au mouvement de ce dernier. Ce terme signifie le fait de communiquer avec autrui sans lui nuire.
Diplômé de Harvard, docteur en psychologie clinique et développement personnel, il a popularisé l’intelligence émotionnelle grâce au livre éponyme qu’il a publié en 1995.
L’intelligence émotionnelle (IE) est la capacité à utiliser ses émotions et sentiments. L’idée est de dépasser la traditionnelle définition de l’intelligence qui se mesure grâce au quotient intellectuel (QI).
Les premières études sur le sujet sont apparues au début des années 1990 avec les travaux de Salovey et Mayer. Ces derniers définissent l’intelligence émotionnelle comme « une forme d’intelligence qui suppose la capacité à contrôler ses sentiments et émotions et ceux des autres, à faire la distinction entre eux et à utiliser cette information pour orienter ses pensées et ses gestes. »
Par la suite, les auteurs sont revenus sur cette première définition pour une acception plus généralement reconnue qui désigne l’intelligence émotionnelle comme « l’habileté à percevoir et à exprimer les émotions, à les intégrer pour faciliter la pensée, à comprendre et à raisonner avec les émotions, ainsi qu’à réguler les émotions chez soi et chez les autres. »
À la base de nos démarches d’accompagnement et dans une perspective dynamique, nous utilisons des outils issus de la sociologie des organisations.
L’esprit sujets libres, c’est un travail de collaboration et d’accompagnement sur-mesure.